On raconte qu’un jour, au fin fond de Bogotá, est né Manu le Colombien, mi-homme, mi-mystère, 100 % légende. Dès sa naissance, il a coupé lui-même son cordon ombilical avec un simple regard… un regard qui sentait le café noir, la salsa et l’insolence.
À 3 ans, il maîtrisait déjà 7 arts martiaux, 4 dialectes extraterrestres et battait le champion local de dominos… les yeux bandés et les mains dans les poches.
À 6 ans, il a dompté un lama sauvage juste en lui récitant des paroles de reggaeton. Le lama, conquis, l’a suivi partout depuis, devenant son fidèle destrier dans les courses de tacos illégales à Medellín.
À 10 ans, lors d’un contrôle de maths surprise, il a tellement bien résolu l’équation que le tableau s’est effacé de lui-même par respect.
Un jour, armé d’un simple chausson, il a désamorcé une bombe, préparé un ceviche et réparé le Wi-Fi d’un cybercafé rural, tout en conseillant sa grand-mère sur ses placements boursiers.
Quand les cartels lui ont proposé une fortune pour rejoindre leurs rangs, il a refusé... en leur offrant des empanadas gratuites, ce qui a suffi à instaurer une trêve de 3 ans entre factions rivales.
On dit qu’il a :
Gagné un débat politique à coups de regards charismatiques,
Ramené une imprimante à la vie par la simple force de la motivation,
Et même fait pleurer un oiseau avec une reprise acoustique de Bella Ciao.
Son plat préféré ? Une arepa garnie de pure audace et de justice.
Sa devise ?
"Pourquoi faire simple quand on peut faire légendaire ?"
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